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L'ESPAGNE DU SUD a un seul nom : L'ANDALOUSIE! Les andalous sont vif, chaleureux...

Avec la trace des plus grandes cultures qu'ils l'ont peuplé, la région andalouse se relève riche, diverse et aussi belle que contrastée. Les andalous sont vif, chaleureux et feront que le voyageur se retrouve comme chez lui. L'Andalousie est le territoire le plus méridional de la péninsule Ibérienne, et est seulement éloignés par le Détroit de Gibraltar par 14 km ce qui implique qu'elle a toujours agit comme un pont entre l'Europe et ce continent (en expliquant l'influence de cultures nord-africaines). L'Andalousie est la Communauté autonome espagnole la plus étendue (87.268 Km2) et peuplée approximativement de 7 849 799 habitants en 2005.L'Andalousie comprend 8 provinces : Séville, Cadix, Huelva, Grenade, Malaga, Almeria, Cordoue et Jaén. La capitale de l'Andalousie est Séville.Les zones montagneuses au Nord (Sierra Morena) et au Sud-est (Sierra Nevada, avec le Mulhacén 3.478 m) comme point culminant de la péninsule, contrastent avec les plaines arrosées par la rivière Guadalquivir. Finalement, l'Andalousie est incluse dans la limite du Sud sauvage de la zone tempérée qui lui donne un climat méditerranéen extrême, dans lequel sont accentuées les températures avec des étés très rigoureux l'Andalousie rend propice tout type d'échange entre la flore et la faune du nord de l'Afrique et l'incidence d'éléments d'origine tropicale.
Dans l'immense territoire Andalous on trouve une grande diversité de paysages : montagne, plaine, désert, plages et de grandes villes. Depuis les temps les plus éloignés l'Andalousie est un lieu de destiné pour conquérants, voyageurs et des civilisations comme les tartesios, romains et arabes, qui ont laissés surtout leur trace indélébiles dans cette terre. Le Guadalquivir, sa rivière plus importante, coupe en deux les régions, qui est unies au plateau central par le pas de Despeñaperros. Les Romains ont construit d'importantes villes, entre autres, Cordoue et Italique. Les arabes ont laissé en Andalousie des monuments sublimes comme la mosquée de Cordoue ou l'Alhambra de Grenade, mais en Andalousie on trouve beaucoup d'autres attraits. Les plages méditerranéennes de la Côte de du Soleil ou de ce qui est atlantiques de la Côte de la Lumière en Huelva, les sommets de Montagne Enneigée, avec les bouts plus hauts que la péninsule, les montagnes de Ronde, les Alpujarras ou Aracena, avec ses pueblecitos charmants, et y compris les déserts comme ceux d'Almeria, méritent pleinement un voyage. Andalousie avec des villes monumentales superbes comme Séville, capital de la Communauté, avec des monuments bellísimos comme la Giralda, la Cathédrale ou les Alcazars, Cordoue, avec son legs arabe impressionnant, Grenue, présidée par l'Alhambra admirable ou Baeza, ville Renaissance.
http://www.andalousie.com/



  Les capitales provinciales :



* province d'Almería (Almería) (8 769 km², 612 315 habitants en 2005) ;
* province de Cadix (Cadix) (7 442 km², 1 140 793 habitants en 2005) ;
* province de Cordoue (Cordoue) (13 769 km², 771 131 habitants en 2005) ;
* province de Grenade (Grenade) (12 635 km², 818 959 habitants en 2005) ;
* province de Huelva (Huelva) (10,148 km², 464 934 habitants en 2005) ;
* province de Jaén (Jaén) (13 484 km², 647 387 habitants en 2005) ;
* province de Málaga (Málaga) (7 308 km², 1 330 010 habitants en 2005) ;
* province de Séville (Séville)(14 036 km², 1 750 720 habitants en 2005) ; et
 la beauté des Sévillanes


Le Guadalquivir, de l'arabe Al Ouad Al Kabir ou le grand fleuve, long de 657 km, est l'un des grands fleuves d'Espagne. Ses principaux affluents sont le Jándula, Yeguas, Guadalmellato, Guadiato, Genil et Bembézar.
Le Guadalquivir coule entre deux chaînes de montagnes, la Sierra Morena et le Système Bétique. La Sierra Nevada se trouve dans le Système Bétique.


On distingue l'Andalousie méditerranéenne, des provinces d'Almeria, de Malaga et de parties des provinces de Grenade et Cadix, de la vallée du Guadalquivir (provinces de Jaen, Cordoue, Huelva, Séville et parties de Malaga, Cadiz et Grenade). Les deux entités sont séparées par le système bétique qui forme une barrière naturelle. Les points de passage principaux sont le col du Soupir du Maure et la ville d'Antequera.

GRENADE: Grenade est la ville de García Lorca, une ville “ouverte toute l'année”...


Quartier de l'Albaicin



Aux pieds de la Sierra Nevada, entre le Darro et le Genil, se dresse l’une des villes les plus intéressantes de l’Andalousie orientale. À son impressionnant héritage Al-Andalus s’ajoutent ses joyaux d’architecture Renaissance et ses installations les plus modernes, représentatives du XXIe siècle.




                                                                  L'Alhambra  


Dernière ville reconquise par les Rois Catholiques en 1492, Grenade est baignée d’arômes arabes inimitables. Sa gastronomie, son artisanat et son urbanisme sont définitivement marqués par son glorieux passé. Fontaines, miradors et cármenes, ces maisons entourées de jardins caractéristiques de la ville, contribuent à en dessiner les secrets, inoubliables. C’est à juste titre que l’un de ses anciens quartiers, l’Albaicín, est inscrit au patrimoine de l’humanité tout comme l’Alhambra et le Generalife. Immense centre culturel durant de longs


Granada from italju on Vimeo.



                                                             Quartier de l’Albaicín  


siècles, aussi bien sous les gouvernements arabe que chrétien, la ville bénéficie aujourd’hui d’un agenda culturel et de loisirs enviable. Cycles et festivals de cinéma, musique et théâtre se complètent d’expositions permanentes et itinérantes qui réunissent tous les domaines du savoir.


The Alhambra from Luciano Bosticco on Vimeo.



                                                  Cour des Lions de l’Alhambra  


Les anciens palais Renaissance accueillent séminaires, conférences et colloques, tandis que lesinfrastructures les plus novatrices sont préparées pour recevoir les plus grands événements

FRIGILIANA, élu plus beau village d'Andalousie en 1988.



Commune de la province de Málaga, Frigiliana est un petit village blanc, joliment fleuri, élu plus beau village d'Andalousie en 1988. Adossée à un versant de la sierra Almijara, elle offre une vue des plus spectaculaires sur la Costa del Sol. La structure et l'allure de sa vielle ville répondent au tracé de la période arabe.
Ses rues étroites, sinueuses, souvent en escalier, sont reliées entre elles par des petits passages couverts parfois flanqués de portes qui se fermaient pour assurer la défense de la population. Une promenade dans la vieille ville nous fait découvrir d'intéressantes mosaïques de céramique vernissée, qui relatent les événements survenus entre les maures et les chrétiens sur le Peñón de Frigiliana. À voir également, le palais des Comtes de Frigiliana, du XVIe siècle, converti par la suite en raffinerie pour la fabrication du miel de canne. Du coup, les villas-résidences secondaires pullulent et l'été, les cars y débarquent leur flot de vacanciers pendant que boutiques de céramique et caves à vins dressent leurs plus beaux étals. Egalement à voir : une église d'époque Renaissance, les ruines d'un château arabe et la vieille fontaine.

La ville couvre une superficie de 1 019 km2. Elle est limitée à l'ouest par les reliefs des montagnes de Malaga et au sud par la mer Méditerranée dans le versant sud de cette dernière à 300 mètres au-dessus du niveau de la mer, se trouve la Ville de Frigiliana.


En la zona más oriental de la comarca malagueña de la Axarquía, en el Parque Natural de las Sierras de Almijara, Tejeda y Alhama, se descubre, asomada al Mediterráneo, la Villa de Frigiliana, con una población aproximada de 3.000 habitantes. A trescientos metros sobre el nivel de mar y con un microclima subtropical, surge, como despertando del pasado, su elogiado y premiado Casco Histórico, de herencia morisca, donde las calles estrechas, sinuosas y empinadas, los pasadizos, adarves y revellines forman un singular entramado urbano de pequeñas casas que se encaraman unas sobre otras. Se trata de una estructura a la que muchos han calificado como el conjunto arquitectónico popular de origen árabe más puro de la provincia de Málaga. Entre los reconocimientos oficiales otorgados destacamos el 1º Primer Premio Nacional de Embellecimiento de los Pueblos de España.



Frigiliana cuenta con una amplia gama de servicios turísticos para satisfacer la demanda del visitante. Una variada gama de alojamientos (establecimientos hoteleros, apartamentos tcos. y casas rurales) y un buen número de restaurantes que ofrecen todo tipo de variantes de la cocina local, nacional e internacional.

El choto frito en salsa de almendras, los variados potajes de verduras frescas, mención destacada merece el potaje deartesania_02.jpg bacalao en Semana Santa(manteniendo así la tradicional cuaresma), las migas…son algunos de los platos típicos de la cocina autóctona, todo ello elaborado con aceite de sus olivares y regados con los ricos caldos moscateles de sus viñedos, sin olvidar, por supuesto, las recetas elaboradas a base de la miel de caña: berenjenas fritas con miel de caña, arropía, marcochas...

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FRIGILIANA from JJ BOLO on Vimeo.

LA TAUROMACHIE.


Séville est un des hauts lieux de la tauromachie espagnole. Berceau de nombreux toreros et capitale d’une des plus fameuses régions d’élevage de toros braves, elle est un des plus éminents foyers de l’afición en Espagne. Se produire à la Maestranza est le rêve de tout matador, et les triomphes en ces lieux sont gages d’un avenir prometteur. Les arènesCes arènes, les plus anciennes d’Espagne après celles de Ronda, sont classées en première catégorie. Construites à partir du xviiie siècle, elles sont la propriété de la Real Maestranza de Caballería de Sevilla, une corporation nobiliaire, composée de descendants de la noblesse andalouse, et fondée par Charles II, en 1670, à partir d’anciennes confréries chevaleresques médiévales. Son rôle était de former à la cavalerie de guerre les officiers de l’armée espagnole, et d’habiliter ces derniers à intégrer les rangs. Ses activités originelles sont clairement liées à l’équitation.
Elle se consacre aujourd’hui à diverses actions de bienfaisance, de mécénat artistique et culturel, ainsi qu’à la promotion de la pratique équestre et de la tauromachie. En ce sens, elle soutient l’école de tauromachie de la ville. Elle est placée sous le haut patronage du roi, Hermano Mayor, depuis le règne de Philippe V, qui lui accorda plusieurs privilèges.




Les corridas.

La Real Maestranza délègue l’organisation des spectacles taurins à un prestataire privé, l’Empresa Pagés, tenue par la famille Canorea. Totalisant environ 35 spectacles annuels (ce qui fait de la Maestranza les deuxièmes arènes d'Espagne, après Madrid), la saison taurine se déroule selon un calendrier traditionnel, dont le commencement est marqué par la corrida du dimanche de Pâques (Domingo de Resurrección), la plus prestigieuse de l’année. Une à deux semaines plus tard se tient la Feria de Abril, constituée d’une série d’une vingtaine de spectacles taurins sur deux semaines. La deuxième partie du cycle coïncide avec la semaine de Farolillos, la Feria de Abril à proprement parler. Une fois la feria achevée, l'activité des arènes perd en intensité. Un cycle de novilladas dominicales a lieu en mai et juin, puis deux courses de taureaux se tiennent à des dates importantes du calendrier liturgique de la ville, pour le Corpus Christi (Fête Dieu), et au 15 août, en honneur de la Virgen de los Reyes. Plus tard, le dernier week-end de septembre a lieu la Feria de San Miguel, qui compte de deux à trois corridas selon les années. Enfin, la corrida de la Virgen del Pilar, le 12 octobre, vient clore la saison.




L'afición.

La tradition tauromachique est très ancienne à Séville, et surtout très bien implantée. La ville et ses alentours ont vu naître de nombreux toreros, qui ont contribué au rayonnement taurin de la cité. Plusieurs peñas (clubs) taurins rassemblent les aficionados sévillans, tandis que la ville regorge de références à la tauromachie (rues baptisées de noms de toreros, statues, ...).
Les arènes, d'une capacité de 12 500 places, accueillent un public métissé, de connaisseurs, connus pour leur tendance toreriste. Célèbres pour les silences méprisants qu'elles préfèrent aux huées, ces arènes sont également réputées pour leur propension à se livrer entièrement aux matadors qui l’honorent d’une grande faena. La récompense suprême est octroyée aux toreros ayant coupé un minimum de trois trophées : le triomphateur sort alors par l’illustre Puerta del Príncipe, qui lui assure honneur et renommée.




Considérée par les aficionados et nombre de ses historiens comme un art, la corrida a inspiré de nombreux créateurs aussi bien en peinture, qu'en littérature, en musique et au cinéma. Cependant, dans un contexte où le désintérêt pour la corrida, voire son rejet, gagnent du terrain, nombre de ses opposants l'assimilent à de la torture proposée en spectacle, et réclament son interdiction.

JEREZ DE LA FRONTERA se encuentra situado en una...

...fértil zona de campiña.

Jerez de la Frontera est une ville espagnole située au sud de l'Andalousie, dans la province de Cadix. Le nom de la ville en français estXérès. Elle est située dans la plaine de l'estuaire du Guadalquivir célèbre pour la vigne et l'élevage équin.
La ville comptait 205 364 habitants en janvier 2008, ce qui en fait la cinquième ville d'Andalousie et la plus grande ville de la province de Cadix. C'est une des communes les plus vastes d'Espagne. Elle est une des capitales du flamenco avec Séville et Cadix.
À 10 km au nord de la ville se trouve l'aéroport international le plus méridional d 'Europe. Le suffixe de la Frontera est partagé avec de nombreuses autres communes du sud de l'Andalousie et se réfère à la frontière historique avec le royaume musulman Al-Andalus, c'est-à-dire la frontière entre les mondes chrétien et musulman.
La cité a été reconquise par le roi Alphonse X en 1264.
Jerez est héritière d'un riche patrimoine historique, conservé principalement dans le périmètre du centre, classé.
Parmi les monuments les plus importants se trouve la cathédrale El Salvador, du xviie siècle, de styles gothiques, renaissance et baroque. L'alcázar représente un des hauts-lieux de l'architecture locale. D'époque almohade, il fut modifié à plusieurs reprises et présente un bel exemple d'architecture militaire. En son sein est conservée l'une des très rares mosquées médiévales d'Espagne.




La ville se distingue également par un grand nombre d'églises d'époques diverses, ainsi que par ses palais et maisons nobles, dont le palais du Marquis de Montana, archétype de la demeure seigneuriale locale. La chartreuse de Santa María de la Defensión est un des plus beaux exemples d'architectures gothique et renaissance en Andalousie ; elle renferme un grand nombre de toiles de Zurbarán.
Enfin, les bodegas, ou caves, des plus grands producteurs de vin de Xérès constituent d'authentiques chefs-d'œuvre d'architecture industrielle.

CARMONA a sólo 30 kms. de Sevilla,

 y sobre la última cota de importancia de los Alcores, dominando la dilatada Vega del Corbónes, está la ciudad de Carmona.



Situé dans la plaine, à côté de la rivière Corbones, Carmona est une ville remarquable pour son architecture et les empreintes que les différentes cultures qui l'ont peuplée y ont laissées tout au long de sa longue histoire. Eglises, palais et murailles font partie de l'important patrimoine artistique abrité par la vieille ville, dominée par l'Alcázar del Rey Don Pedro, imposante forteresse d'origine arabe. Située à quelques kilomètres de Séville, elle jouit de son très grand patrimoine historique et artistique et de ses nombreuses possibilités de loisirs. Carmona permet également de découvrir la gastronomie sévillane et andalouse, riches en plats traditionnels succulents.


Carmona possède une longue histoire et a connu le passage de cultures très différentes. Elle fut d'abord habitée par le peuple de Tartessos pour se convertir plus tard en colonie phénicienne. Des siècles plus tard, les Romains et les Arabess'y établirent, deux civilisations qui ont laissé leur empreinte particulière dans l'héritage monumental qui se cache dans cette ville.
Les murailles sont d'origine romaine, les portes de Córdoba et Sevilla sont de la même époque, ainsi que l'Amphithéâtre. C'est également le cas de sa Nécropole (Ier av. J. C.), située en dehors de la ville, et qui compte des centaines de tombeaux et de riches chambres de sépulture creusées dans la roche.


Derrière ses anciennes murailles, le vieux quartier de Carmona a su conserver son aspect de médina arabe, avec ses rues où apparaissent de beaux bâtiments représentatifs de l'architecture civile et religieuse.

L'église de Santa María la Mayor, construite au XVe siècle, s'élève sur une ancienne mosquée arabe. D'autres églises à découvrir sont celles de San Felipe (XIVe siècle), de style mudéjar, et celle de San Pedro, de style baroque et dont la tour ressemble à la Giralda sévillane.

A chaque détour apparaissent des maisons de style mudéjar, construites entre les XVe et XVIIe siècles, desédifices de style renaissance et baroque. Certains sont particulièrement célèbres comme le palais de los Aguilar, celui de los Rueda ou la Casa du Marquis de las Torres, actuel siège du Musée archéologique et ethnographique de la ville. 




Ne manquez pas de visiter également le Couvent de las Descalzas (XVIIIe siècle) et l'Alcázar de la Puerta de Séville, d'origine carthaginoise. Vous pouvez également monter jusqu'au point le plus élevé de la ville. C'est ici que s'élève l'Alcázar almohade du roi Don Pedro, aujourd'hui Parador de Tourisme. Construit à l'époque musulmane, l'alcázar fut d'abord la résidence des rois de taifas (roitelets qui se partagèrent l'Espagne arabe après la désagrégation du Califat de Cordoue en 1031). Au XIIIe siècle, sous le mandat du roi Pedro I “Le Cruel” d'importants travaux de restauration eurent lieu dans l'enceinte fortifiée qui lui donnèrent finalement son aspect actuel. La légende raconte que ce somptueux palais se convertit en l'un des lieux de prédilection du monarque castillan.

CÓRDOBA Los orígenes de se pierden en el tiempo.



À l’intérieur des terres andalouses, Cordoue associe histoire et modernité à la perfection. Cette ville millénaire inscrite au patrimoine de l’humanité est l’héritage vivant des différentes cultures qui s’y sont installées au cours de son histoire.

Peu de villes au monde peuvent se vanter d’avoir été la capitale de l’Hispanie ultérieure sous l’Empire romain puis la capitale du califat des Omeyyades. Une splendeur également intellectuelle, ce siège du savoir et de la connaissance ayant donné le jour à des penseurs tels que Sénèque, Averroès ou Maïmonide.


Une promenade dans la vieille ville de Cordoue permet de découvrir son superbe labyrinthe de ruelles, places et patios blanchis à la chaux et articulés autour de la mosquée-cathédrale, témoin de l’importance de la ville au Moyen Âge et véritable symbole de la capitale.


Sans oublier sa splendeur passée, Cordoue est une ville moderne qui a su s'adapter au temps présent et offre les infrastructures et services les plus modernes, ainsi qu'une offre hôtelière très importante.


Cordoba '12 from Antoinetravels on Vimeo.


Bien reliée au reste des capitales andalouses, elle dispose d'un train à grande vitesse (AVE) et d'un vaste réseau de chemins de fer qui la rapproche de grands centres urbains comme Madrid ou Séville. Une fois à l'intérieur de la ville, un large réseau d'autobus et de taxis mettent à la portée du visiteur n'importe quelle destination en quelques minutes.


Cordoue est également synonyme d'art, de culture et de loisirs. Un grand nombre d'évènements culturels y sont organisés tout au long de l'année : festivals de flamenco, concerts, ballets... activités complétées par un bon nombre de musées et par une vie nocturne très animée.


En outre, la province possède d'importantes traces de l 'héritage andalou, dont la manifestation la plus représentative est la Medina Azahara, située à proximité de la ville. Mais elle est aussi un véritable spectacle pour les amants de la nature. Les parcs de Sierra de Cardeña dans la vallée de Los Pedroches et Montoro, Sierra de Hornachuelos et Sierras Subbéticas offrent la possibilité de pratiquer tout type de sports à ciel ouvert, ce qui par ailleurs permet au visiteur de profiter de la richesse de la province.

LE FLAMENCO, danse créé par le peuple Andalou.


Le Flamenco: danse créé par le peuple Andalou.

Le flamenco est un genre musical et une danse, créé par le peuple andalou, sur la base d'un folklore populaire issu des diverses cultures qui s'épanouirent au long des siècles en Andalousie. Le flamenco date du xviiie siècle. À l'origine, le flamenco consistait en un simple chant a cappella (cantes a palo seco ) dont le premier genre fut la toná, établie dans le triangle formé par Triana, Jerez et Cadix. Les claquements des mains pour accompagner s'appellent palmas, la danse, el baile (bailaor pour le danseur), la percussion se fait souvent avec le cajon, avec les pieds (zapateado, une sorte de claqué) et avec les castagnettes. La guitare classique en français est la guitare flamenca. La musique peut être nommée le toque.
Le flamenco a été inscrit au patrimoine culturel immatériel de l'humanité de l'UNESCO le 16 novembre 2010.


Flamenco from A Mo on Vimeo.
Yoel Gonzalez & Marina Korobko

                                                      
Il existe de nombreuses théories concernant la genèse exacte du terme « flamenco ».
Blas Infante dans son livre Origines du flamenco défendait l'hypothèse que le mot « flamenco » dérivait des termes arabes felah-enkum, qui associés signifient « paysan errant ». Il reprenait une terminologie déjà proposée à partir du mot fallah, et déclinée aussi en felahikum ou felagmenku. Cependant les flamencologues ont rejeté cette thèse, remarquant que le mot flamenco n'est apparu qu'au xixe siècle à une époque où l'influence arabe sur la langue espagnole avait disparu.

                                           Tablado Andaluz from Daniel Dias on Vimeo.


Une autre théorie affirme que le flamenco était le nom d’un couteau ou d’un poignard. Dans la saynète El Soldado Fanfarrón, écrite par González del Castillo au xviiie siècle, on peut lire: El melitar, que sacó para mi esposo, un flamenco (« Le militaire, qui sortit pour mon époux, un flamenco »). Dans une autre copla (chanson) reprise par Rodríguez Marín, il dit : Si me s’ajuma er pescao (« Si le poisson brûle) / y desenvaino er flamenco (« et si je sors mon flamenco) / con cuarenta puñalás (« avec 40 coups de poignard ») / se iba a rematar el cuento (« allait se terminer l’histoire »). Cependant, cette hypothèse ne s’est jamais faite une place.

SÉVILLE


Selon la légende, Séville est fondée par les Tartessiens autour du viiie siècle av. J.-C., sous le nom deIspal ou Spal (selon les sources latines). Le premier site de peuplement stable a été localisé au bord du Guadalquivir, sur un petit promontoire, aujourd’hui connu sous le nom de Cuesta del Rosario. C’est à cet endroit que le fleuve cesse d’être navigable pour les grandes embarcations.


Séville (Sevilla en espagnol) est une ville du sud de l’Espagne, capitale de la province de Séville et de la communauté autonome d’Andalousie. Peuplée par 704 1982 habitants en 2010, située au centre d'une riche région agricole, traversée par le Guadalquivir et connectée à un important réseau de communication, la cité est le cœur économique, politique et culturel de l’Andalousie, et constitue l’une des plus importantes villes du pays, mais aussi de l'Europe du Sud. C’est également une ville au passé prestigieux, ayant légué un patrimoine artistique d’une immense richesse, qui en fait une des destinations touristiques les plus prisées d’Europe et l'auréole d’un certain prestige. Ses monuments, les nombreux artistes qui y sont nés ou y ont œuvré, son histoire glorieuse, ses fêtes traditionnelles, mais aussi son climat ont ainsi contribué à sa renommée. Située au sud-ouest de l'Espagne, Séville bénéficie d'un emplacement privilégié, largement ouvert vers l'extérieur et qui s'appuie sur deux caractéristiques géographiques majeures.


D'une part, la cité est traversée par le Guadalquivir, navigable jusqu’à la capitale andalouse. Le fleuve lui offre un accès à la mer, ce qui explique sa place prépondérante dans l'histoire d'une ville qui s'est construite par et autour de lui. Voie de communication essentielle, le Guadalquivir a permis le développement d'un commerce fluvial encore actif à ce jour, et qui connut son apogée au moment de la constitution de l'Empire espagnol. À noter que depuis 1948, le Guadalquivir, dévié pour éviter les inondations, longe la ville par l'ouest. Le cours d'eau qui traverse Séville, et sur lequel se trouve le port fluvial, est une darse.




D'autre part, Séville domine la vega (plaine) du Guadalquivir, la Campiña sevillana. Cette vaste étendue de plaines légèrement ondulées est exploitée depuis des siècles pour sa fertilité qui a contribué à la richesse de la ville. Cultures céréalières, maraîchères, oléicoles, ou encore élevage de bétail (toros braves notamment), n'ont cessé d'être développés sur ces terres qui continuent à faire vivre la région. Cette position enviable offre à Séville une franche ouverture vers les régions limitrophes, sur lesquelles s'étend son influence : l' Aljarafe, l'Alcor et les sierras nord et sud de la province.  La ville, desservie par un réseau de communications dense, se trouve à 125 km de Cadix, 140 km de Cordoue, 219 km de Málaga, 250 km de Grenade, 541 km de Madrid et 1046 km de Barcelone.




Le nom de Sevilla provient du toponyme ibère I-Spal (Isfân en carthaginois a donné l'Hispania romaine, l'Isfâniya arabe, Espana médiévale) romanisé sous la forme Hispalis, devenu Isbaliya/Isbiliya/Ishbalyia/Isbilyia au viiie siècle.
La devise de Séville est NO 8 DO. Le 8 représente ici un écheveau de laine, madeja en espagnol. La phrase se lit donc : no madeja do, contraction de No me ha dejado, elle ne m’a pas laissé. Cette formule fait référence au roi Alphonse X le Sage, lequel, chassé du pouvoir par son fils Sanche, futur Sanche IV, en 1282, se réfugie à Séville, l’une des très rares villes de sa couronne à lui être restées fidèles face à son fils rebelle. Il y meurt en 1284. Cette devise figure sur le drapeau municipal. Le blason, quant à lui, représente le roi Ferdinand III de Castille, conquérant de la ville en 1248, entouré de saint Isidore et de son frère saint Léandre qui furent tous deux archevêques de Séville aux vie et viie siècles. La devise de la cité figure au bas du blason.
Selon la légende, Séville est fondée par les Tartessiens autour du viiie siècle av. J.-C., sous le nom deIspal ou Spal (selon les sources latines). Le premier site de peuplement stable a été localisé au bord du Guadalquivir, sur un petit promontoire, aujourd’hui connu sous le nom de Cuesta del Rosario. C’est à cet endroit que le fleuve cesse d’être navigable pour les grandes embarcations. La ville est ensuite peuplée par les Phéniciens et les Grecs. Séville se retrouve au cœur de la Deuxième Guerre punique : les Carthaginois s'en emparent en -216. La bataille d'Ilipa permet aux Romains de la conquérir en -206. La ville est rebaptisée Hispalis et est reconstruite. Son tempérament mouvant amène néanmoins les Romains à fonder une autre cité à proximité : Itálica, qui devient la ville résidentielle, tandis qu'Hispalis conserve ses fonctions commerciales. Jules César la dote d'une nouvelle enceinte en -49, puis l'élève en -45 au rang de colonie romaine. Elle devient alors une cité importante, dominant toute la Bétique. Au moment des Grandes invasions, Séville est conquise successivement par les Vandales en 426, puis par les Suèves en 441. Ces derniers seront néanmoins chassés par les Wisigoths après la bataille de la rivière Órbigo en 456.

LA SEVILLANA: danse traditionnelle...



La beauté des Sévillanes.

 
Les origines de la sévillane demeurent assez obscures. La sevillana est la danse traditionnelle, folklorique de Séville, mais comme c'est également un berceau du flamenco, les deux sont mélangés depuis longtemps. Toutefois, des influences se devinent, telles que la danse orientale ou extrême-orientale. Dès le xviie siècle apparaît une forme de danse, dérivée des chacona (chaconne) et zarabanda (sarabande) des xve et xvie siècles, très populaires à travers toute l'Espagne, la seguidilla. En Andalousie, elle prend le nom de seguidilla sevillana, puis de sevillana.

Actuellement, on peut la danser lors de ferias et/ou romerias en Espagne (Sevilla, Jerez, Barcelone ...) mais également dans le sud de la France (Arles, Nîmes, Dax, Mauguio, Béziers ...) dans des casetas (tentes) réservées ou non à cet effet. La sevillana se danse a deux, en rond ou en carré.



Les sévillanes se dansent par séries de quatre coplas (danse) à la fin desquels le couple s'immobilise, un bras en l'air, avec une pose de quelques secondes. Cet arrêt, qu'il faut marquer nettement, s'appelle le bien parado (l'arrêt bien fait).

Chaque sévillane a une chorégraphie différente, de la plus simple à la plus difficile. Elles ont le nom de leurs positions chronologiques : primera, segunda, tercera et cuarta. Chaque sévillane est partagée en 3 parties correspondant aux trois strophes de chaque chanson, illustrées par des pas et des figures distincts. Quatre couplets sont exécutés à la suite ; entre chacun d'eux on marque un bref arrêt. Le final, est identique pour les 4 sévillanes.



Sevillanas from Patricia Pérez Román on Vimeo.

Une légende veut attribuer à chacune des parties de cette danse une connotation romantique : la rencontre, la séduction, la dispute et la réconciliation. S'il y a quatre danses dans une sevillana, il y a aussi quatre raisons qui neutralisent cette pseudo-légende:

les couplets des premières sevillanas étaient au nombre de sept : quatre pour la danse populaire et trois pour la classique Bolera.

les couplets des premières sevillanas étaient écrits individuellement et traitaient de sujets très différents les uns des autres - Ils étaient rassemblés par quatre pour pouvoir danser. Il faut attendre les compositeurs modernes pour trouver des sevillanas écrites avec un thème unique. 




                                    Festival Jerez. María Pagés from HanDa Films on Vimeo.

Il n'existe pas à ma connaissance de sevillanas composées de couplets traitant de ces thèmes dans cet ordre. 
Un grande partie des sevillanas est "Rociera" appelées ainsi par allusion au pélerinage de pentecôte vers l'ermitage de la Vierge de la Rosée (Rocío), près d'Almonte, province de Huelva. Même si ces sevillanas-là ne parlent pas systématiquement de la Vierge (Virgen) elles s'y réfèrent très souvent- Vous vous voyez vous disputer avec la vierge?

(http://fr.wikipedia.org/wiki/Sevillana)
     
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